Les déambulations de Greyback

Un Grey qui déambule peut être un danger public pour l'humanité!

Etonnant, non?

tu parle la déambulation de grey se passe dans les cour de M.P.I aulieu de dormir je deambulle

t'y est même pas en mpi comment tu veux déambuler TT"

oh mon dieu! grey s'est multiplié !!

Cher Greyback


Je pense très souvent à toi, tu sais. Car je te trouve si con que mes autres
pensées sont chassées par ton image. Aussi, comment penser à autre chose quand
on connait un être dix fois plus intelligent que le prix Goncourt, et cent fois
plus idiot que Indiana Jones? Je dis la vérité! Tu peux penser que j'exagère,
mais moi, je ne le crois pas. Regarde-toi! Tu es une vraie mine d'or! Tout ce
qui vient de toi est plus précieux qu'un diamant! Tu vis et tu crées en même
temps. Tu es une sorte d'artiste qui crée sans le vouloir. A vrai dire, je pense
même être en dessous de la réalité: car il n'y a pas de mots! Je pourrais te
comparer à un dieu, un ange, ou à Mickael Korki, (je plaisante), je n'arriverais
pas à être dans le vrai. Je te laisse, à présent, mais j'espère te revoir
bientôt, Greyback, car c'est toujours pour moi une immense joie.

Le Journal De Grey
par Greyback


Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Korki embrumait Moscou. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.

Timidement, il frappa trois petits coups. Comme rien ne se passait, il allait insister lorsque la porte s'ouvrit sur Greyback. Elle était plus con que jamais, et gratifia Korki de ce sourire si magique dont elle avait le secret.
- Entre, lui dit-elle.
Korki la suivit jusqu'au salon.
- Assieds-toi, fit Greyback.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Un silence s'ensuivit. Puis Greyback, qui le regardait, lança doucement:
- Alors? Tu ne m'embrasses pas?
Korki sourit.
- Je fais durer le plaisir, dit-il.
Puis il ajouta:
- Approche...
Greyback s'exécuta, et Korki posa sur sa bouche un baiser silencieux. Puis un autre. Encore un.
- Je...
Mais elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, ni même de la commencer, puisque Korki la gratifia cette fois d'un long et tendre baiser. Quand cela fut terminé, Greyback sourit.
- C'est toi qui embrasses le mieux de tous mes amants, dit-elle.
- Petite dévergondée, rit Korki.
Puis Korki approcha sa bouche de l'oreille de son amie et chuchota quelque chose d'imperceptible. Soudain, une larme coula sur la joue de Greyback.
- Moi aussi, je t'aime, dit-elle.
- Plusieurs décennies se sont écoulées depuis que je t'ai connue. Et tu es la seule personne que j'aie jamais aimée.
- Il en est de même pour moi, mon chéri, déclara Greyback. Personne ne pourra remplacer ton si crétin sourire. Tu es unique, grâce à plein de petites choses. Personne n'a ta démarche, Personne n'a tes cheveux. Personne n'imite aussi bien que toi le cri du bombe atomik. Personne ne connait l'histoire de Moscou aussi bien que toi. Personne à part toi ne m'a jamais dit que j'étais débile of ze life. Bref, personne à part toi ne mérite d'être dans mon coeur.
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Greyback pour saisir le bras de Korki et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Picassokorki, ou comme ''La Danse De Grey'' de Grey. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Korki ferma les yeux et eut l'impression de déconner en haut d'un connarbus imbécilus. Et soudain tout s'arrêta.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Greyback, car hier matin, Brioche a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Korki est plus explosé que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''

Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.

ceci a ete fait chez aline sur un site de con pour les pomme d'la life qui sont sur le point de ce suicider au moin on aura la paix!! gnark! gnark!( rire du plancton diabolique!)

c pas ma faute si c'est l'histoire d'amour de Grey...

Truman Love Story
par Truman


Nyouk-plage n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Truman. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.

Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une andouille voix chanta:
- Qui est là?
- C'est Truman! Répondit celui-ci.
- Je ne connais aucun Truman! Dit la voix.
Il y eut un silence.
- C'est toi, Georgetta? Fit Truman.
La porte s'ouvrit soudain:
- Mais oui c'est moi, mon Truman! Je t'ai bien eu.
Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps:
- Entre, dit-elle.
Truman la suivit jusqu'au salon.
- Assieds-toi, fit Georgetta.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Il leva la tête vers Georgetta, et lui sourit.
- Tu vas bien?
- Embrasse-moi immédiatement. Ordonna-t-elle.
Truman, prit au dépourvu, voulut comprendre, mais son amie ne lui en laissa pas le temps puisqu'elle se jeta sur lui et l'embrassa langoureusement. Lorsqu'elle se redressa, Truman vit ses yeux qui brillaient. Alors, sans mot dire, il se pencha vers elle, et à son tour, posa ses lèvres sur les siennes. Pour la seconde fois de leur histoire, donc, ils s'embrassèrent.
Puis Truman approcha sa bouche de l'oreille de son amie et chuchota quelque chose d'imperceptible. Soudain, une larme coula sur la joue de Georgetta.
- Moi aussi, je t'aime, dit-elle.
- Cela ne fait que quelques jours que nous nous sommes vus, et je voulais que tu saches que tu es mon premier amour. Le premier et le dernier.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Georgetta.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus catastrophique que je n'ai jamais connue! La plus catastrophique de tout Nyouk-plage! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si accro à la Bombe Atomik...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce Greyback, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Truman, tu as beaucoup de qualités...
- Embrassons-nous encore... souffla Truman.
Ils s'embrassèrent donc. Au loin, on entendait ''Quand On A Les Boules'' de Mickael Korki. D'où cela venait-il? Quelle importance, du moment que c'était là. Bientôt, la musique, l'amour, les entraînèrent dans un tourbillon sans fin. Il n'y avait plus de plafond, plus de mur. Nyouk-plage était loin. Ils virent passer un woodchuck des alpes, au dessous d'eux. Puis deux. Maintenant, ils étaient sur la mer. Ils frissonnèrent... était-ce le vent qui s'était levé et qui faisait frémir un peu leur peau? Quelques nuages voilèrent le ciel. A mesure que les notes s'envolaient, la musique devenait de plus en plus belle, et le ciel de plus en plus gris. On se serait cru dans un tableau de Leonardo De Korki. Des larmes de joie dans la voix, la musique jouait. Quelques gouttelettes de pluie vinrent alors troubler cet océan, tels des pizzicatos que le vent sifflant emportait au loin avant de les renvoyer à la figure des amoureux. Après quelques instants les gouttes grossirent, s'écrasant lourdement sur la surface de l'eau. Georgetta, que la folie saisissait, se voyait péter au milieu des éclairs... Plus la musique jouait plus le temps s'agitait, plus le ciel s'assombrissait, plus les vagues grandissaient, se brisant bientôt contre leurs pieds dans une explosion d'écume crépitante, poussées par des bourrasques assassines... leur baiser dansait sur cet air tourmenté, cet océan symphonique, cet opéra dramatique, les vagues étaient à présent immenses et la pluie tranchait le ciel plus sombre que la plus noire des nuits, c'était affreusement grand et terriblement beau, si beau que ça faisait mal, la musique hurlait sa douleur, de plus en plus fort, les notes tourbillonnaient, le vent devenait tornade, les vagues devenaient rouleaux, les amants tournoyaient, autour de leurs bouches, autour de leurs mains... et tout s'arrêta soudain.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Truman.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop I come from the war pour que je te quitte, répondait Georgetta. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Billy Weaver (Georgekenstein Pour Les Intimes). Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment

Le mousquetaire et la merde atomik

Dans un lointain pays
Vivait une fille,
Elle attendait qu'un mousquetaire vienne l'enlever
Chantant chaque jour un super con air,
Et entretenant une merde atomik merveilleuse...
''Ses pétales un peu gris iront avec tes yeux...
Et je la glisserai dans tes cheveux chauve.''
Un jour, elle rencontra un mousquetaire appelé Greyback.
''Comment depuis 256 ans, ne l'ai-je jamais vu?''
Pensai-je.
Car c'est bien moi, mon mousquetaire,
C'est moi qui t'admire comme cela.
C'est à toi que j'offre cette merde atomik,
Prends-en soin, sois son con soleil
Et délivre-moi du sort de la sorcière
Celle qui emprisonne les coeurs dans un songe gris.

Martix

Empaillage Intempestif
par Billy Weaver


Bath City n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Billy Weaver. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Plus vite qu'il ne l'aurait pensé, il se retrouva devant la porte.

Il chercha alors ses clefs, mais s'aperçut que sa poche était vide. Il réalisa alors que celle-ci était percée. Il se frappa le front: comment allait-il entrer chez lui? Après avoir passé en revue les différentes possibilités, il décida de rentrer par la fenêtre entrouverte. Il jeta un coup d'oeil rapide alentour, passa une jambe, puis l'autre, et se retrouva dans la cuisine. Soudain, la lumière s'alluma...
- C'est toi? Que fais-tu là? Pourquoi tu n'as pas sonné?
The Landlady était là, debout sur le pas de la porte de la cuisine, et tenait dressée au-dessus d'elle une poêle à frire.
- Et toi? Répondit Billy Weaver. Je ne pouvais pas savoir que tu étais là!
Le visage de The Landlady se radoucit. Elle posa la poêle et sourit:
- Je n'avais pas de travail, aujourd'hui.
Elle était crochue de la life. Ses yeux, sa bouche, tout s'éclairait chez elle.
- Viens, dit-elle.
Arrivé au salon, Billy Weaver s'assit dans un fauteuil et soupira. Un silence s'ensuivit. Puis The Landlady, qui le regardait, lança doucement:
- Alors? Tu ne m'embrasses pas?
Billy Weaver sourit.
- Je fais durer le plaisir, dit-il.
Puis il ajouta:
- Approche...
The Landlady s'exécuta, et Billy Weaver posa sur sa bouche un baiser silencieux. Puis un autre. Encore un.
- Je...
Mais elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, ni même de la commencer, puisque Billy Weaver la gratifia cette fois d'un long et tendre baiser. Quand cela fut terminé, The Landlady sourit.
- C'est toi qui embrasses le mieux de tous mes amants, dit-elle.
- Petite dévergondée, rit Billy Weaver.
Ils se regardèrent. Billy Weaver approcha sa bouche de l'oreille de The Landlady et chuchota:
- Je t'aime...
Bien sûr, il lui avait déjà dit qu'il l'aimait. Bien sûr, il lui avait dit des milliers de fois. Mais ce sentiment était toujours le même. Il voulut le lui dire.
- Depuis seulement 24 heures que je t'ai vue, je voulais que tu saches que tu es mon premier amour. Le premier et le dernier.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura The Landlady.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus zarb que je n'ai jamais connue! La plus zarb de tout Bath City! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si bô gosse...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce Greyback, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Billy Weaver, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... The Landlady...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un plancton, en train de empailler à l'air libre. Près d'eux, Wagnerkorki chantait ''Le Train Fantôme'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Billy Weaver fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Trumanmatisse, The Landlady réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Billy Weaver rouvrit les yeux.
- The Landlady...
- Oui?...
- The Landlady... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Toute la nuit, ils restèrent enlacés, à parler, ou à s'embrasser.
- Je t'ai déjà parlé de Christopher Mulholland? Demanda Billy Weaver.
- Non.
- Il m'a dit un jour que je ne pourrais jamais séduire qui que ce soit, même une folle.
- Il ne faut pas écouter ce genre d'idioties... comment pouvait-il te dire ça, à toi, qui es si... parfait!
- Tu ne le connais pas. Sa bêtise dépasse l'entendement.
- Je veux bien te croire!

Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.

j'adort t histoire de HOUFE c trop bien

n'est-ce pas? ptdr

ne prend po la grosse tête sinon tu va exploser

ha ha ha

en v'la un autre:

Martix


Ça va, j'espère? Car tu sais, je pense beaucoup à toi! C'est parce que tu es
vieille bique, si vieille bique que mon esprit n'arrive pas à se détourner de
toi. L'autre jour, je voyais Truman à la télévision. Je me suis d'abord dit
qu'elle était crochue de la vie, puis mes yeux sont tombés sur ta photo... et je
me suis dit que j'étais bête, et qu'elle ne t'arrivait pas à la cheville! Je dis
la vérité! Tu peux penser que j'exagère, mais moi, je ne le crois pas. Je ne
connais personne qui ait une sensibilité aussi développée que toi. Je sais que
tu me diras le contraire, parce qu'en plus de toutes tes qualités, tu es
modeste. Même Georgetta Korky, qui a la réputation d'être d'une humilité
irréprochable, ne fait pas le poids à côté de toi. Bref, tout ça pour te dire
que tu es la personne la plus fantastique au monde, Martix. J'espère que tu
m'honoreras bientôt de ta présence!

Greyback

j'ador c bo! c moa qui est fait se sujet pour sa chui trop forte

bien sur.....

laisse moa delirer en paixt mechante tu m'a boulverser

mon dieu...on va la plaindre...

ben ouais

ben non

SALOPE

Grâce! Je t'aime! Ne t'en vas pas!
Regarde mon sang se figer
Elis-moi pour dix septennats!
Yin et Yang jamais séparés
Balayons donc l'indifférence
Artistes en pleine création
Crions et rions en cadence
Kiné de l'âme des vagabonds!

Korki

La passion a raison de moi
Avec toi tout semble plus gai
Ne vois-tu pas que je suis là?
Draguons le fond de nos pensées
L'amour pour toi s'appelle Immense
Artistes en pleine création
Dit-on Amour ou Inconscience?
Yersinia dans mon coeur qui fond...

Billy


ptdr!!!!!!!