Les déambulations de Greyback

La Vieille Bix
par Matrix Grey


Les cheminées fumantes enveloppaient Korkiland d'une brume artificielle, et firent tousser Matrix Grey. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Après avoir longtemps marché, il arriva enfin devant la maison.

Rapidement, il sortit sa clef, et fébrilement, la fit tourner dans la serrure. Il n'avait pas abaissé la poignée que la porte s'ouvrit.
- J'ai pensé à toi toute la journée!
Martix se tenait là, devant lui. Sa bouche vieille bique se fondait en une sorte de croissant de lune mielleux, et ses yeux brillaient comme deux étoiles.
- Tu viens? Dit-elle.
Arrivé au salon, Matrix Grey s'assit dans un fauteuil et soupira.
Il ferma les yeux, et bailla.
- Viens sur mes genoux, dit-il à Martix. Je vais te raconter quelque chose.
Celle-ci obtempera, et fit comme si elle ne se doutait de rien. Mais elle savait exactement ce qui allait se passer. D'ailleurs, elle ne fut pas sitôt près de lui qu'il la serra dans ses bras et se mit à l'embrasser fougueusement. Peu après, elle le regarda et lança:
- Tu es tellement prévisible que tu en es touchant!
- Ah oui? Fit Matrix Grey. Ça, c'est ce que tu crois. Car j'ai la preuve du contraire.
- J'aimerais bien voir ça!
- Viens, je vais te le dire en secret... dit-il.
Mais Martix, pas dupe, se jeta sur lui avant qu'il n'ait eu le temps de tenter quoi que ce soit, et l'embrassa à son tour.
- Je t'aime, dit Matrix Grey.
- Je t'aime aussi, dit Martix.
Cette phrase, ils se l'étaient répétée des milliers de fois. Mais jamais elle n'avait perdu de son sens.
- Depuis toutes ces années que nous nous connaissons, j'ai toujours su que c'était toi l'amour de ma vie. Et ce, malgré mes aventures passées.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Martix.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus gâteuse que je n'ai jamais connue! La plus gâteuse de tout Korkiland! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si crétin...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce boulette de riz, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Matrix Grey, tu as beaucoup de qualités...
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Martix pour saisir le bras de Matrix Grey et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de MonetGrey, ou comme ''Stayin' Alive'' de Plancton Diabolik. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Matrix Grey ferma les yeux et eut l'impression de fumer en haut d'un un palmier atomique. Et soudain tout s'arrêta.
- Notre mariage a été la plus merveilleuse idée de notre vie, murmura Martix.
- Je suis bien d'accord avec toi...
Toute la nuit, ils restèrent enlacés, à parler, ou à s'embrasser.
- Je t'ai déjà parlé de Camarade Diabolik? Demanda Matrix Grey.
- Non.
- Il m'a dit un jour que je ne pourrais jamais séduire qui que ce soit, même une folle.
- Il ne faut pas écouter ce genre d'idioties... comment pouvait-il te dire ça, à toi, qui es si... korki de la life!
- Tu ne le connais pas. Sa bêtise dépasse l'entendement.
- Je veux bien te croire!

Concentré de Grey en boîte et les 12 travaux

Toi qui as ouvert les fleurs
Tu as rendu mes rêves divins
Fait oublier la peur
Mis tes yeux roses dans mes refrains
Fait 14 fois le tour de la Terre
Entouré ma vie de cristal
Mis ton concentré en connerie parfum jusque dans l'air
Suspendu chaque point final
Glissé du Gris dans mes murmures
Mis une lueur sur mon trottoir
Des fils chauve avec des poils dans les oreilles dans l'azur
Et un poème dans notre histoire.
Ces 12 travaux achevés,
Tu peux goûter, enfin,
Une lardon atomik, c'est moi, une petite lardon atomik qui a poussé,
Et lui donner un suuuper cooon baiser, un baiser qui sera le tien...

Greyback, ange de ton été

c koi c histoire bidon a la noix

un poèmeuu...

c bidonespece d'exclavagiste

c normal c pour toi!!!! : CASSSSSSSSSééééééééééé:!!!!!

c koi ce message bidon tu te prend pour brice de nice c sa en tout cas chez moa c cool le week end j'peux manger dedevant l'ordi c super

on s'en fout royalement de ton week-end!

je sais mes c po grave

c'est pour faire la conversation, quoi....

t'a tout compris

bon, que dire d'autre...ah oui: grey a maintenant un bracelet qui griffe et elle veut embrocher sa soeur avec ...

c la life by brice de nice

c la life des psychopates

aussi ....................................................................................................................................BARY LE BOUCHET

oui mais lui sa vie c la BOUCHERIE

c claire

en même temps, c'est écrit dessus, comme le Port Salut!!!

quoa?

c bidon

"a year in THE MERDE" c pire

aussi qu'elle idée de lire des truc pareil

ben c en anglais (1) et ça te fait une lecture pour la plage (2) et puis on s'occupe comme on peut, hein (3)!!

Truman Truman , sauve l'honneur de Washington à Sydney en remportant l'épreuve de course des président des USAs à dos de arrosoir.
De notre correspondant à Sydney.

Hier, Truman Truman a dignement représenté les habitants de la petite bourgade de Washington en remportant la course olympique des président des USAs à Sydney.
Sur les starting-blocks pourtant, notre champion se trouvait en situation peu confortable :
Bien que George V ait déclaré forfait depuis ce terrible mercredi de mars dernier aprés une foulure des korkis, blessure que son kiné n'avait pu réduire malgré des massages énergiques et répétés, Truman Truman était quand même opposée à Mao Tsé-Toung, tenant du titre mondial depuis 1989.
Tout semblait donc joué et personne n'aurait parié ses économies sur une victoire de Truman .
Dès le départ de la course, qui devait se poursuivre sur 4kilomètres et durer "ça se dit pas!" heures Mao Tsé-Toung prit une avance non négligeable : tenant fermement son arrosoir en s'aidant de ses korkis pour améliorer son aérodynamisme, sa victoire ne faisait aucun doute.
Pourtant, c'est dans la dernière ligne droite qu'eu lieu le tournant décisif de la course : Truman Truman , raffermi la pression sur ses korkis et les utilisa pour pousser son arrosoir vers l'avant. Cela lui permit de passer la ligne d'arrivée avec "ça se dit pas!" mètres d'avance sur son adversaire.
Après, tout ne fut plus que liesse et bonheur...
Les supporters du Club sportif des président des USAs de Washington menés par Arlette Laguiller firent une ovation en l'honneur des korkis du champion.
Cet exploit donne une médaille de plus au plus illustre des habitants de Washington.
Bien qu'effondré sous le poids de sa défaite, Mao Tsé-Toung, beau joueur, dira de son adversaire : "il ne pouvait que gagner, dans ce sport, ce qui compte c'est la tenue des arrosoirs et la longueur des korkis, et personne n'en est aussi bien doté que Truman Truman ".
Rendez-vous dans 4 ans Pour de nouvelles aventures olympiques.